Bouaye Avance

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Janvier 2019


Un an après la décision du 17 janvier 2018 de renoncer au transfert de l’aéroport de Nantes Atlantique, l’État cherche toujours comment trouver un plan B. Aujourd’hui, nous savons qu’il n’existe pas d’alternative sur le site de Nantes Atlantique conciliant protection des riverains et développement aéroportuaire, comme c’était le cas à Notre-Dame-des- Landes.

En attendant, nous avons tous constaté une augmentation des avions au dessus de nos têtes. La création de l’association COCETA-Bouaye traduit la mobilisation citoyenne qui s’organise face au développement aujourd’hui sans limite du trafic à Nantes Atlantique au détriment des nuisances pour les riverains.

Histogramme du frafic aérien à Nantes


Lors de la dernière Commission Consultative de l’Environnement présidée par le Préfet, le 30 novembre dernier, le Maire de Bouaye a sollicité que des mesures de bruit soient réalisées par une station mobile stationnant plusieurs semaines sur la commune.

Nous demandons également que le Plan de Gêne Sonore (zone où une indemnisation des travaux d’insonorisation est possible) et le Plan d’Exposition au Bruit (zone où des règles d’urbanisme s’imposent) coïncident, ce qui  n’est pas le cas actuellement. Les élus de Bouaye ont également pris position au Conseil municipal du 17 décembre pour l’interdiction des vols de nuit à Nantes Atlantique.

Enfin, l’État ayant annoncé plusieurs débats publics avant l’été 2019, nous invitons nos concitoyens à se mobiliser avec les élus qui les défendent pour peser tant qu’il est temps.

 

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